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15 septembre 2006

Tout ça tout ça quoi…

C'est comme ça quand on prend du retard.

Un mois que je n'ai rien écrit ici. Pourtant, pour une fois, j'avais quelques trucs à raconter. Par exemple, il y a eu les obsèques d'une vie de fille, pour qu'elle devienne une femme mariée (oui, je sais, ça porte à confusion, mais je vous dis pas les requêtes google sinon). Et pour une journée bien remplie, ça a été une journée bien remplie. Déjà on a commencé super tôt pour cueillir la demoiselle au saut du lit. Effet de surprise totalement réussis, et le plus drôle c'est que par réflexe, elle nous a refermé la porte au nez juste après avoir vu nos têtes hilares dans le couloir. Comme on est des jeunes filles bien élevées, on avait amené les croissants et on a donc pris un solide petit déj, avec le futur mari qui devait se sentir un peu seul entouré de 10 donzelles. Ensuite, on a équipé l'heureuse élue pour sa journée, le tout casé dans un gros sac à dos de randonnée. Bien sur, il y avait sur la liste un tas de choses inutiles, ce qui fait qu'elle s'est coltinée entre autre un rouleau à pâtisserie toute la journée pour des prunes. M'enfin, j'en connais d'autres qui partent en vacances en train avec un dictionnaire dans leur sac… Une fois harnachée, on lui a quand même permis de ne pas prendre ses skis avec (hem) et on l'a emmenée vendre quelques fruits sur le marché le plus proche. Au vu des résultats, on s'est interrogés ensuite sur l'opportunité de lancer une vente de "pseudo jeunes filles" et de tourner sur quelques marchés parce que franchement, ça rapporte. Du moment que c'est pour un mariage, les gens sont prêts à donner pas mal sans réfléchir, pour une mise de moins de 10.-, elle a récolté un peu plus de 100.-. Après cet épisode financier et après également s'être procuré un pique-nique pour elle (nous on avait déjà prévu), on est montées dans le train, destination inconnue (enfin, pour elle). Et on s'est rendues sur le lieu de l'activité principale de la journée, une station de ski nautique tracté. On devait être une douzaine à ce moment là, mais seules quatre (moi compris) ont eu le courage de participer avec la future mariée. Bon, faut dire, je comprends les autres, il faisait plutôt beau mais pas super chaud et l'eau n'était qu'à dix-huit degrés, ça ne donne pas forcément envie de se prendre des gamelles dans la flotte. Donc, on nous a harnachées (costume de bain + combinaison courte + gilet de sauvetage), on a enfilé les skis (vraiment pas pratiques ces trucs), pris la file d'attente et au moment M, attrapé le truc et…. PLOUF! Oui, parce que la première fois qu'on fait du ski nautique dans sa vie, ça fait plouf, croyez-moi. Charge ensuite au petit mouillé de revenir tout seul vers le bord en poussant ses skis (qui heureusement, flottent). J'ai essayé quatre fois, j'ai réussi à me lever trois fois mais jamais à conserver mon équilibre, va savoir pourquoi. Sur les cinq, trois ont réussi à faire des tours et une autre que moi a encore moins bien réussi. Heureusement, notre héroïne du jour a fait partie de celles qui ont réussi, au moins à faire un bout, assez loin pour que ce soit le bateau qui vienne les chercher pour leur éviter de nager trop longtemps. J'aurais eu le temps d'essayer une cinquième fois, mais les gamelles la tête la première dans l'eau froide m'avaient collé une pure migraine, j'ai donc abandonné un tour avant les autres. Pendant ce temps évidemment, celles qui étaient restées au sec prenaient des tas de photos et se marraient en nous voyant nous croûter après trois mètres. Après cet épisode rafraîchissant, rhabillage en vitesse et départ pour l'étape suivante, un retour au point de départ mais en bateau cette fois. On a eu de la chance, le vent ne s'est levé qu'à ce moment là, un vent qui annonçait un bel orage. Arrivées à bon port, on a passé à la suite du programme… monter une tente de camping en plein centre ville et surtout en plein vent sur le béton. Bon, à la base, l'idée c'était que l'heureuse élue se débrouille seule. Sauf que, c'était une grande tente (6 places) et que sans sardines pour la faire tenir un minimum, on a bien été obligées de l'aider, au moins pour jouer les sardines. Premier bémol, la tente fournie était en très bon état mais… il manquait une pièce, juste un petit bout de tube et du coup, on a eu un peu de mal à la monter juste. Deuxième bémol, il y avait du vent, beaucoup de vent… vous avez déjà essayé de tenir une surface de toile pareille par grand vent? Bref, elle était censée inviter de jeunes hommes à venir boire un verre sous la tente, mais un seul a accepté, et encore, il parlait pas la langue. Après un bon moment de torture pour celles qui se fadaient le soutient de la tente, l'organisatrice à enfin admis que ça suffisait comme ça et on a pu remballer. Entre temps, elles avaient fait faire à la future mariée un tag (sur un drap) pour re-décorer une statue proche. Ça a duré un bon moment tout ça (le seul vrai temps mort de la journée) avant qu'on ne se décide à passer à la dernière étape, un petit souper tranquille dans un bistrot du coin. Je suis partie (avec d'autres) vers quelque chose comme vingt-deux heures, j'étais complètement vidée. Hélène et les autres sont encore allées boire un dernier verre en ville je crois et notre héroïne était super contente de sa journée qu'elle a passé dans l'enthousiasme. Les activités n'étaient pas trop "méchante" et le "déguisement" était assez léger (à part le sac). Je veux dire, elle ne s'est pas retrouvée en bébé avec juste une couche culotte dans la rue, ni en total look Heidi ni en gros poussin jaune comme on en voit parfois. Donc, une bonne journée pour toutes.

Par contre, en souvenirs de cette journée mémorable, lundi, j'ai senti comme un grattement dans la gorge… Mardi, ça se précisait franchement et le soir, il a vraiment fallu que je me mette des pieds aux fesses pour me joindre aux filles pour la préparation de l'animation du mariage. Et évidemment, le mercredi et le jeudi, j'ai dorloté ma petite fièvre et surtout mon pauvre nez qui s'est mué en une nuit (de mardi à mercredi) en un robinet mal fermé à un point jamais vu. Donc, deux journées très très tranquilles ou ma seule source d'énervement a été de constater que mon ordi avait de plus en plus de mal, ce con a planté plein de fois et j'ai failli perdre en même temps tous mes favoris et tous les derniers programmes installés ainsi que les fichiers téléchargés, un vrai bonheur. M'enfin, les meilleures choses ont une fin et comme je ne peux pas rester plus de trois jours à la maison sans certificat médical, je me suis forcée à aller bosser vendredi. Le lundi suivant, en meilleure forme, on s'est retrouvées chez Sabrina pour régler les derniers détails avant la grande fête du samedi. C'était fort sympathique comme soirée et on a pu s'extasier en cœur sur son nouveau chat, il est tout efflanqué, tout petit et tout noir. Ensuite, la semaine a été tranquille, si l'on excepte ma recherche désespérée de chaussures (y'a jamais ce que je veux, ou alors en 36 et je fais du 41) et le léger stress du à la météo plus que fraîche et incertaine.

Heureusement, le samedi du grand jour s'est levé sur un ciel bleu, voilé certes mais bleu et il faisait suffisamment chaud pour que je puisse finalement mettre la tenue prévue. Première étape, passer chercher Sabrina et déposer un truc chez elle. Évidemment, en transbahutant ma salade de fruit, j'ai réussi à tâcher ma robe, heureusement, c'est partit tout de suite au rinçage. Et encore plus évidemment, j'ai oublié de prendre un truc à la maison, bilan, on a du y repasser entre l'apéro et le souper. A l'église, la cérémonie a été plutôt bien, mais décidément, je ne suis pas fan de "et maintenant, levons-nous tous et prions le seigneur" et autres bondieuseries. M'enfin, dans la mesure où ça comptait pour les mariés, c'est ça qui importe. A la sortie de l'église, on n'a pas trop traîné, ce samedi était apparemment prisé des jeunes couples, il y avait déjà une partie de la noce suivante qui attendait dehors quand on est sortis, mariages à la chaînes. Et on a même croisé une troisième mariée (sans mari) qui faisait des photos dans le village. L'apéro était super, très bien préparer avec des tas et des tas de très très bonnes choses à manger et un joli cadre. Par contre, c'est comme toujours, c'est bien que les gens soient debout, ça facilite les échanges, mais par contre, qu'est-ce que ça fait mal aux pieds. Pour les mariés, ça a été le "mauvais" moment à passer vu qu'il y avait toutes les photos à faire et qu'ils n'ont pas eu grand chose à boire ou à manger durant un long moment. Il y a eu deux petites animations sympas mais qui manquaient un peu de sono (les sketchs, c'est mieux quand on entend quelque chose) et surtout, il y a eu l'organisation de la suite du programme, le lieu du souper était à une demi-heure de route dans un coin un peu perdu et tout le monde n'était pas du coin. On en a profité pour s'éclipser, repasser chez Sabrina et chez nous avant de retrouver tout le monde sur un parking pour organiser le traditionnel cortège en voiture pour les quelques derniers kilomètres. Le souper s'est déroulé dans un "chalet" pas mal du tout, au bémol près que les gens étaient assis dans deux salles qui, bien que reliées par une large porte, posaient un peu des difficultés pour la circulation et surtout, pour les annonces et les animations. Pour le reste, c'était un mariage classique, bonne bouffe, des animations sympas, des taillages de costards aux mariés bien orchestrés et quelques surprises du meilleur effet. Le truc qu'on avait prévu nous les filles s'est finalement bien passé (malgré de sérieux doutes du marié au départ), même si la participation qui était demandée aux gens à parfois posé quelques petits problèmes (notamment à cause de la liste des invités qui n'était pas la bonne). La soirée s'est finie raisonnablement tard et il n'était "que" trois heures quand je suis montée me coucher. Oui, parce qu'on avait la possibilité de dormir sur place en plus. Et d'ailleurs, détail étonnant, la majorité de ceux qui sont restés habitaient dans le coin alors que ceux qui devaient faire deux heures de route sont pour la plupart rentrés en pleine nuit… la logique de l'être humain me surprendra toujours. Le lendemain, on a eu droit a un solide petit déjeuner avant de donner un petit coup de main pour le rangement (mais petit le coup de main). On est parti tranquillement aux alentours de midi et l'après-midi a été fait de comatage dans le canapé, la nuit n'avait tout de même pas été très longue. Le dimanche soir, il a quand même bien fallu que je me bouge un minimum pour préparer mes affaires, vu que je partais pour quelques jours dans la ville voisine.

Me voilà embarquée dans une nouvelle semaine de cours, la troisième et dernière pour obtenir le diplôme. Cette fois, on était  pas dans un cinq étoiles et l'hôtel n'était pas exactement au même endroit que les cours. Pour cette raison peut-être, certains de mes petits camarades se sont regrettablement laissé allés. Après la présentation a plusieurs reprises des gags genre Gerra fait Céline Di.on grâce au mp3 intégrés sur leurs natel, lors du deuxième repas de midi c'était comment faire pour transformer l'enregistrement d'un énorme rot en sonnerie de téléphone, c'est dire si ça volait haut... Et bien évidemment, ça a été comme ça durant toute la semaine. Le tout agrémenté de propos sexistes, homophobes voir racistes, un vrai bonheur. Heureusement, il a fait grand beau, en tout cas les premiers jours de la semaine. Je me souviens même que le lundi, après les cours, je suis allée me poser au soleil dans les jardins de l'école pour bouquiner un bon coup, le pied.  En tout cas, quel bonheur de se balader à nouveau en t-shirt. Le mardi, retour au soleil, mais cette fois sur la terrasse de la cafète' plutôt que dans le gazon, c'est plus confortable pour lire. Par contre, pendant que je grillais gentiment dans la chaleur de la fin d'après-midi, des étudiants étrangers causaient accueil des non-suisses en Suisse et dérivaient petit à petit vers quelque chose qui ressemblait à "qu'est-ce que l'humanitaire?" Le tout en un mélange d'anglais, de français et d'italien (je crois) évidement. C'était intéressant, mais l'ennuyeux, c'est qu'à les écouter distraitement, au final, je ne comprenais pas plus leur conversation que mon paragraphe. Un vrai crime de lèse trône de fer... Ceci dit, je n'ai pas profité mes refaiseurs de monde en trois langues bien longtemps, car je devais retrouver Ondine, vu que j'étais dans le bon coin, ça aurait été dommage de ne pas la voir. Elle m'a emmenée dans un petit bistrot de village qui s'est avéré étonnant. Bouteilles à 800.- sur la carte, à côté des pizzas et viandes à tomber en spécialité. Faut avouer, le filet de bœuf que je me suis tapé méritait quelques louanges. A part l'assiette qui valait la peine, le service était sympa aussi, même si la "drague" humoristique mais éhontée du patron à l'égard d'Ondine a fini par devenir un peu lourde. Et puis, malgré la chaleur de la journée, la soirée s'est vite avérée fraichouille sur la terrasse, on a donc pas fait de vieux os (et on a pas fait de détour pour dire au revoir au patron collant). Comme aucune de nous deux ne connaissait de bistrot sympa dans le coin, on s'est rabattues sur le bar de l'hôtel, ce qui a été une moyennement bonne idée dans la mesure où le cadre et la musique n'étaient déjà pas top, mais le débarquement en force de mes chers camarades a carrément rendu l'ambiance franchement grave. Heureusement, la soirée était déjà bien entamée et compte tenu de notre boulot du lendemain à toutes les deux, Ondine n'a pas tardé à prendre le chemin du retour. Normalement, on devrait se revoir le mois prochain, j'espère qu'on y arrivera.

Le jeudi, c'est mon chéri qui est venu me tenir compagnie à l'hôtel. Profitant que je me trouvais dans la banlieue de la ville où il bosse, on a décidé de se taper un resto avant de dormir sur place. En prenant le bus pour rejoindre le centre et notre point de rendez-vous, j'ai eu la chance contestable de tomber sur un conducteur en rogne. J'étais tout devant, je l'ai donc bien entendu soupirer, fulminer, insulter les autres usagers de la route et taper à plat sur son volant pour bien montre son irritation. Résultat, j'ai passé le trajet à me demander quand est-ce qu'il allait rentrer dans quelqu'un ou quelque chose pour passer sa rogne. Une fois en ville, on a fait un petit saut dans un grand magasin dans lequel je n'ai pas pu m'empêcher de lire le quatrième de couverture du trône de fer numéro dix alors que je n'en suis qu'au trois, pas bien. Ensuite, on a mangé chinois sur une terrasse tranquille de la zone piétonne et même moi je n'avais pas froid, c'est dire. Le contenu des assiettes était tout à fait bien, par contre, pas moyen de payer dans ce truc. Après vingt bonnes minutes à attendre qu'un garçon voit ma carte de crédit posée sur l'adition, on a fini par se faire les fonds de poches et par partir en laissant les sous. Après un mini détour touristique (environ 100m) on a trouvé notre station de bus et on s'est posé pour attendre. Trente secondes plus tard, de grosses gouttes commençaient à s'écraser par terre et une minute après, c'était un remake du déluge, coup de bol, on est vraiment partit du resto juste à temps. Par contre, détail moins amusant, on a poireauté une bonne demi-heure avant qu'un bus ne se pointe.

La semaine s'est terminée vendredi à midi, en effet, les organisateurs ont eu l'excellente idée de nous donner congé l'après-midi. Un sandwich à la boulangerie du coin, de quoi boire et hop, en route direction maison. Comme ça, j'ai eu tout le temps de faire mes courses et mon ménage tranquillement durant l'après-midi, histoire d'avoir la paix pour le week-end.

Dimanche, on est allé se rendre compte par nous même de ce qu'était réellement le festival de bandes-dessinées censé remplacer Sierre. Le frangin et Gabrielle nous l'avaient proposé et c'était une occase de se bouger un peu. Ben franchement, Bdfil j'ai trouvé ça… décevant. Petit, un peu prétentieux, pas franchement donné si on veut voir les expos et l'ambiance était bof mais paraît-il, la fréquentation a été bonne. En fait, ça a mal commencé pour nous, peu décidés que nous étions à payer pour voir les expos (après avoir quand même vu la "foire de vente" des BD, pas convaincante, très petite dans un espace pas adapté) on a commencé par deux expos "hors site" gratuites. Ben il nous a fallu un bon quart d'heure pour trouver la première, les plans étant illisibles et les indications inexistantes sur le dernier bout du parcours. L'expo en elle-même ne cassait pas des briques et franchement, je persiste à croire que ceux qui en avait écrit les textes n'avaient pas bu que de l'eau ni fumé que du tabac. Après une autre visite et de retour sur l'esplanade centrale, là où se trouvaient tout les stands bouffe et boisson, Gabrielle a croisé plein de connaissances à elle datant d'un de ses anciens jobs et on est resté un moment. On a même fini par décider de manger une morce sur place, tant qu'à faire, alors même que l'optique chaise longue grand jardin nous semblait totalement enviable. Oserais-je dire "mal nous en a pris"? Alors qu'on mangeait, une autre connaissance de Laurie est passée, qui n'était autre qu'un ponte du festival qui nous "vivement encouragé" à aller voir les expos, pièces maîtresses du festival selon lui. Coincé nous étions… On a donc finis nos assiettes et on est allé acheter un billet pour les expos. Ben franchement, à part une assez bien faite sur Yslaire (petite, mais concise et bien faite) les autres… comment dire… hum… Par exemple, l'expo sur un des invités d'honneur du festival (celui qui a dessiné l'affiche) se résumait à… une pièce de douze mètres carrés juste agrémentée de quelques planches agrandies suspendues au mur, c'est cheap je trouve. Le passage par l'expo "jeunes talents" (concours habituel des festis BD) a achevé de nous démoraliser, sur une centaine d'œuvres environ, il y en avait maximum trois de valable, et encore, en étant gentils. Les trois planches des lauréats allaient de bof à eurk… Enfin, l'expo phare, la fierté du festival (et la dernière pour nous) était certes bien, le talent de l'exposé indéniable, mais c'était plus de la peinture que de la BD et de plus, certaines toiles étaient très grandes alors que le recul était franchement petit. Bref, bof, bof et rebof, je regrette encore plus maintenant la décision de la ville de Sierre de se passer de son festival, c'était nettement plus grand et nettement plus convivial. Pour parachever, alors qu'il faisait beau sur le festival, plus on avançait sur la route du retour, plus le ciel se couvrait et plus notre partie de chaises longues dans le jardin s'éloignait. Et effectivement, de retour dans nos pénates, il pleuvait, pas de chance. M'enfin, on a quand même fini par un bon petit souper tranquillou chez le frangin, comme le veut la "tradition" familiale des soupers du dimanche soir.

A part tout ça, cette semaine fut une semaine rien, si l'on excepte le fait que j'ai plus bossé que d'habitude. Et ce week-end s'annonce parisien, on va aller noyer la RDJ (z'annoncent de la pluie, alors plutôt noyade qu'enterrement) lors d'un énième piknik annoncé comme le dernier, mais je n'ose y croire. Et comme le hasard (?) fait bien les choses, on va également pouvoir profiter du voyage pour faire un coucou aux parents qui sont en ce moment même dans la capitale. Retour dimanche et lundi… congé! (cherchez pas, c'est un congé juste Suisse, et encore).

Espérons qu'il fasse beau…

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Commentaires
M
zavez meme pas déplacé le piknik alors que j'étais pas là...bouh...Bon, j'espère que c'était bien....<br /> J't'embrasse ma belle...
Tentative
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